F...

http://www.youtube.com/watch?v=RowFKNmana0


stop, là il semble clair qu'il
faut arrêter net, une fois pour toute, avec ces conneries,
utopie et après, tant kon y croit, même juste faire semblant, ça suffit. S'il
faut systématiquement se perdre dans quelque chose, elle avait besoin de
changer ce quelque chose sans copier coller. Elle, kel sale pute, rien à dire

de plus, un faux air odieux, un faux cool, pas grand chose d'authentique

derrière tout ça, pauvre fille, loose de merde. Go to hell and suck bitch de
mes couilles, vas-y noie-toi dans ta connerie, tes substances et ta
musique de merde, flopflopflop.
http://www.youtube.com/watch?v=RwJBf2VQdb8&feature=related
Encore ces saouleries, kel temps perdu à te regarder
sombrer, remonter, ressombrer, mais juste savoir une fois ce ke tu caches là
derrière, pauvre naze, t’es juste une arnake, comme disait l’autre, kelle naze
celle-là aussi. Pourkoi perdre son temps avec vous alors ? Ça doit tuer la
solitude d’un côté comme de l’autre. L’anniversaire de la chute du mur…C’est
dur à trimballer tous ces tiroirs désordonnés, hein ? Ta seule rivale,
connasse, c’est toi-même et ça ne pèse pas vraiment lourd. Tu fuis ce que tu


cherches, kel mortel ennui de regarder
ça de loin ou de près, ark, vraiment
extrêmement ennuyeux ces masturbations en tout genre, nombriliste pathétique,
mais regarde toi deux secondes dans le miroir, évidemment tu l’a perdu, arnak,
c’est ce kon disait, non ?
http://www.youtube.com/watch?v=Jsg-IPhg57w

Allez, santé, aux amoures impossibles!


Toutes ces filles, elles t’ont fait tourné la tête, non, pas
toutes, et moi ? N’en parlons surtout pas, c’est vrai. Donc toutes ces filles,
la dernière en date, on ne sait plus, c’est ça ? Alors on va dire une des
dernières, koi, quelques coups de rasoir dans ta peau et tu passes à
autre chose, mon cul, à d’autres, mais pas à moi. Evidemment, t’as pas envie de
parler, comme d’hab ‘, ça sera donc mon monologue, tu es lâche, on le
savait, t’inkiète. T’es un peu comme cette putasse sur les paquets de gitanes,
tu te plankes dans tes propres volutes de fumée et après, après, tu m’emmerdes
et je sais pertinemment que je t’emmerde aussi, on est fixé. Alors cette
cicatrice de plus, raconte !! Tu t’en es pris plein la gueule et tu
refuses de l’admettre, hein ?! Lâche, encore et après. Je suis comme un
pigeon à ta fenêtre et ça t’oppresses, me lire aussi t’oppresses. C’est ainsi.
Mais avoue, sans tricher, t’y a cru ne serait-ce qu’une seconde cet été, avoue,
http://www.youtube.com/watch?v=qikAacyjOro&feature=related


crache-le putain !!! Je
t’observe, tu m’ennuies et tu me touches en même
temps, voilà pourkoi je suis encore là. I’m not in love, on avait compris. Si
tu savais juste, mais juste un peu, what does love mean, mais naon, tu préfères
l’obscurité bien qu’elle te fasse si peur, la lumière t’es encore
insupportable, ess trop tôt ou desespéré, à toi de voir, mais oui, tu ne vois
plus grand-chose. Pauvre loque, c’est dingue comme tu me fais de la peine,
entre pitié et compréhension. C’est peut-être juste parske je souffre à travers
toi que j’aime te regarder de loin de manière aussi obsessionnelle. Oui, tu me
dégoûtes moins que tu ne m’attires, ça doit être là le problème. C’est
l’anniversaire de la chute du mur, qui veut pisser dans mes croquettes, tes
textes à deux balles postés ça et là, tu es perdues, pauvre fille, je le suis
aussi. Alors c’est peut-être que tu me rassures entre deux doses. La mort te va
si bien, tu le sens hein ?! Et la violence, aussi hein, tu la sens monter,
haha.


Une, deux, trois, quatre, cinq,
quatre et demie on va dire en se demandant ce que "demi" peut bien
signifier. Elle n'en sait plus rien, ne veut plus rien, un, deux, trois jours,
une semaine peut-être et après? Après, ça repart, où, dans un labyrinthe de
succession d'impasses, une accumulation de source d'emmerdes au final, c'est ce
que de l'extérieur il n'est pas forcément aisé de percevoir, mais je ne suis
pas dupe de ce manège, je dois me reconnaître quelque part dans ce bordel.
Pauvre conne. C'est comme ça, un truc contre nature naturel, qui s'impose,
peut-être une simple question d'hormones ou alors c'est simplement l'expression
d'une pathologie de plus. Entre le cérébral, l'attraction physique et surtout
le déni des ses émotions noyées dans différents produits, tout se complique,
cycliquement, les cycles se rapprochant méchamment. En fait, ça pue le suicide
de ian curtis dans ma tête, je la sens sur le fil, rien à voir avec ces
conneries de borderline post ado, en gros ça craint et malgré tout, de loin et
de près, je ne peux m'empêcher de m'inkiéter tout en fermant ma gueule pour ne
pas kel s'enferme plus loin dans sa psychose, juste un épisode de plus ou pas,
on verra. Same way, same shit, ça doit être ça qui nous lie si fort, kel
chienne de merde. Tu me fais bander alors que le sexe semble si néfaste en ce
moment, c'est la crise et le cours de l'orgasme ne cesse de grimper. Sex, drugs
and rock'n'roll ou love, seropram et prise de tête sur indus minimalist, à
prendre ou à laisser. Crise ou pas, l'orgasme a un prix.
http://www.youtube.com/watch?v=QVc29bYIvCM&feature=related